Les adversaires du président Paul Biya ont tout essayé : appels à l’insurrection, intoxication, délation et affabulation à travers des montages grotesques du genre « biens mal acquis » et autres.
Les contempteurs du président Paul Biya tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Cameroun auront, sans succès, fait feu de tout bois pour l’ébranler et le détruire. A défaut d’un véritable programme politique alternatif à la politique des « Grandes réalisations », ils entreprennent d’utiliser des méthodes antidémocratiques et lâches qui visent à ternir l’image du Président, à décréditer sa famille nucléaire dont tout le monde sait qu’il aura réussi l’exploit rare en Afrique, de la tenir hors des affaires de l’Etat. Ils ont poussé loin le bouchon en portant atteinte à nos institutions. Et, pour parvenir à leurs fins, ils ne lésinent sur aucun moyen moderne de communication…Aujourd’hui, pour n’avoir pas réussi à ébranler Paul Biya, ils ont une nouvelle trouvaille : le supposé scandale des 100 milliards de francs Cfa dont Franck Biya, le fils du chef de l’Etat serait l’auteur. Du vrai n’importe quoi ! A la manœuvre cette fois, de gros clients de l’ « opération épervier » actuellement entre les serres du redoutable rapace, ils auraient décidé de se venger… par tous les moyens, y compris par l’usage du mensonge et de la désinformation. Objectif : pousser le chef de l’Etat à arrêter le combat acharné contre la corruption et le détournement des deniers publics, des fléaux qui ont plombé l’économie camerounaise et fabriqué de nouveaux monstres. Peut-être espèrent-ils ainsi, essayer de démontrer y compris par l’absurde, que l’opération d’assainissement des mœurs publiques engagée par le chef de l’Etat est injuste et à tête chercheuse, puisqu’elle épargne allègrement les proches du Président…Inutile de réfléchir longtemps pour savoir d’où viennent les documents publiés en fac-similés dans l’œil du Sahel par exemple. Ce sont des documents que seule la Société financière africaine (Sfa), une société du groupe Fotso peut avoir, puisqu’ils mettent en évidence ses transactions avec les autres partenaires. Et les raisons de la rancœur ne manquent pas. Il est vérifié que le remboursement anticipé par Camtel du crédit obtenu auprès de la Sfa, objet du nantissement des titres de Camtel a posé quelques problèmes à Sfa qui espérait que Camtel soit dans l’incapacité de rembourser les 4,5 milliards pour faire main basse sur les 9400 titres redevenus propriété de Camtel ; lesquels auraient produit à échéance, 9,4 milliards de francs Cfa à la Sfa. Ce manque à gagner et le fait que les 9400 titres aient été cédés par la suite à Afrione de Franck Biya ont été mal digérés, d’où la cabale contre le fils du chef de l’Etat et la tentative de suicide collectif opérée au travers de cette vraie fausse affaire. Mais les Camerounais sont un peuple mûr qui sait de quel côté se trouve la vérité. Ils savent que la bataille que mène le président Paul Biya en ce moment est salutaire pour le pays. Ils n’ignorent pas que c’est la bataille de la construction au Cameroun, d’une « République exemplaire ». Un Cameroun engagé dans une nouvelle dynamique qui le conduira vers l’émergence. Voilà ce qui intéresse les Camerounais aujourd’hui. Ils n’ont pas le temps pour la distraction. Surtout celle que leur propose la poignée d’individus qui se sont rempli les poches au détriment de la communauté et qui, visiblement, au moment de répondre seuls de leurs actes, veulent entraîner tout le monde dans leur chute. Lorsque de surcroit, ces « voleurs », pour emprunter au langage trivial, ont le toupet d’essayer d’arracher la sympathie d’honnêtes citoyens en se prenant pour des agneaux qu’ils ne sont pas, la supercherie prend des allures d’une imposture insupportable et nauséeuse.SM
Simon Meyanga