Emploi, formation, encadrement : le gouvernement ne ménage aucun effort pour assurer le plein épanouissement de sa jeunesse appelée à prendre activement part à l’œuvre de construction nationale.
Après avoir cherché sans succès à diviser la société camerounaise par la désinformation, la manipulation et l’instrumentalisation, certains lobbies tapis dans l’ombre ont jeté leur dévolu sur la jeunesse camerounaise présentée comme le parent pauvre de la politique du Renouveau. Par des articles publiés dans les journaux ou les prises de position dans les émissions de débat dans la presse audiovisuelle, les bras séculiers de ces lobbies ont déployé ces derniers temps, des trésors d’énergie pour démontrer que l’avenir des jeunes au Cameroun est totalement compromis ; la faute à la confiscation du pouvoir par les séniors et l’absence d’une véritable politique d’émancipation de la jeunesse au Cameroun.
Comme lors des précédentes tentatives, les jeunes du pays ont superbement ignoré ces appels à peine déguisés à l’insurrection. Au contraire, ils ont saisi l’occasion de la célébration de la 49ème édition de leur fête pour envoyer un message fort au monde entier : la jeunesse camerounaise connait les enjeux de l’heure et les défis du futur. Elle sait que le gouvernement est à ses côtés. Raison pour laquelle, elle est résolument engagée à accompagner le chef de l’Etat, Paul Biya, vers l’émergence du Cameroun en apportant sa pierre à l’édifice du développement du pays. Une jeunesse qui se positionne comme bouclier de la Nation pour défendre la paix et la stabilité du Cameroun face aux exactions des groupes armés et aux comploteurs de tous bords.
Cet enthousiasme de la jeunesse s’est encore manifesté lors du lancement en continu des activités de la fête de la jeunesse. Que ce soit à Bafut dans le Nord-Ouest, Elog Batindi, au groupement Evouzo et à Fifinda dans le département de l’Océan, les jeunes de toutes les conditions ont démontré au ministre Bidoung Mkpatt et aux ministres africains de la Jeunesse qui l’accompagnaient, que les efforts déployés par les pouvoirs publics pour leur épanouissement ne les laissent pas de marbre, et qu’ils font entièrement confiance au gouvernement pour leur avenir. Un enthousiasme décuplé avec l’organisation sous le haut patronage du président de la République, Paul Biya, de la première Conférence des ministres de la jeunesse du Commonwealth, région Afrique. Le thème des travaux : « La jeunesse à l’œuvre de construction d’un avenir stable et durable », a permis entre autres, aux participants de consolider les politiques d’encadrement des jeunes en Afrique afin de leur garantir un avenir radieux.Le Cameroun pour sa part avait déjà opté pour une plus grande professionnalisation de son système éducatif afin de former plus de techniciens et d’ingénieurs. Que ce soit dans les lycées, dans les universités, dans les grandes écoles et dans les centres de formation professionnelle, de nouvelles filières ont été ouvertes et des facilités accordées aux apprenants afin d’accélérer la formation d’une main d’œuvre qualifiée. Dans le but de réduire le chômage des jeunes, le chef de l’Etat a ordonné le recrutement de 25 000 jeunes à la fonction publique en 2011, ces jeunes sont effectivement sur le terrain. Parallèlement, des instructions étaient données aux administrations concernées pour la création d’emplois jeunes. Pour l’année 2014, 283 443 ont été créés et 350 000 sont attendus pour l’année 2015. C’est fort de ces acquis que les jeunes ont fait une démonstration de force lors du défilé du 11 février 2015 à travers le pays. Une jeunesse en phase avec son pays et ses dirigeants.