Président de la section Ojrdpc du Faro et Deo I à Tignère depuis 2015, cet agronome de formation est également président national du Mouvement pour la consolidation des acquis du renouveau (Mocar).
Il fait partie de ceux sur qui il faut désormais compter pour que le Rdpc retrouve ses lettre de noblesse dans la région de l’Adamaoua en général, et dans le département du Faro et Deo en particulier. C’est en 2002 que Mohamadou Aminou est piqué par le virus de la politique, et décide de rejoindre le parti du Président Paul Biya, après une observation minutieuse du paysage politique camerounais. L’actuel président de la commission de passation des marchés publics auprès de la commune de Galim Tignère, militait alors comme membre de la sous-section Ojrdpc Tignère Sud. Ceci, de 2002 à 2007. Sa conception de la politique basée sur la vision de Didier Erasme, le contemporain de Nicolas Machiavel, lui a permis de se faire positivement distinguer et de gagner les cœurs de sa hiérarchie politique et surtout, celui des populations. Car en effet, sa disponibilité, sa volonté de rendre service et son désir d’apprendre lui ont permis de prendre du poids politique. De 2007 à 2015, il décroche le poste de trésorier au bureau de la sous-section Ojrdpc Tignère sud. Et depuis 2015, il est le président de la section Ojrdpc du Faro et Deo I à Tignère.
Sa capacité de mobilisation ne souffre de l’ombre d’aucun doute. Le délégué d’arrondissement d’agriculture et du développement rural de Galim Tignère, par ailleurs conseiller technique spécialisé en production végétale dans le programme Acefa peut rassembler les populations en un temps trois mouvements. Le dernier souvenir en date, est l’organisation le 13 février 2021, du méga-meeting de soutien et de gratitude au Président Paul Biya, à l’occasion de son 88eme anniversaire. Une grande première dans l’Adamaoua ! Une région politiquement dominée par l’Undp, mais où le Rdpc entend se repositionner. Et dans cette perspective de reconquête, Mohamadou Aminou, président national du Mouvement pour la consolidation des acquis du renouveau, se fera certainement entendre. En tout cas, l’avenir nous dira.