Après l’opération de validation du sommier politique, le parti continue de vivre, en attendant la prise en compte des propositions des éclatements faites par la base.
L’opération de validation des sommiers politique initiée par la hiérarchie du parti s’est déroulée avec beaucoup d’enthousiasme dans la section Rdpc Mefou et Afamba Nord, comme dans les autres sections du parti. En dehors du travail que les équipes avaient effectué sur le terrain en vue d’établir la cartographie du parti par organes de base, les regards des militants sont actuellement focalisés sur la mise en application des propositions qu’ils ont faites, notamment les éclatements des organes de base, pour un encadrement de proximité des militants.
De l’avis de Brigitte Olinga, présidente de la section Ofrdpc de cette localité, « l’opération s’est bien déroulée dans l’ensemble et a redonné une vitalité au Rdpc dans nos localités ». Initialement, la section Rdpc Mefou et Afamba Nord compte 20 sous-sections. Des propositions faites lors de la validation des sommiers politique, il ressort que, compte tenu de la densité de la population et pour des besoins d’encadrement de proximité des militants, la commission de validation des sommiers politique a reçu des propositions de remoduler certains organes de base, notamment la sous-section Esse ville et bien d’autres, pour passer de 20 à 25 sous sections. À ce sujet, Martin Ndongo Bouné, président de la section Ojrdpc de la localité, comme bien d’autres responsables de base, estiment qu’il était de bon ton que l’opération de validation des sommiers politique se tiennent pour restructurer et redynamiser le parti à la base malgré le contexte sanitaire actuel.
Pour le reste, l’encadrement des militants se poursuit tant au niveau de l’accompagnement de la femme rurale que sur la sensibilisation des populations sur la lutte contre le Covid-19. « Pour cette campagne agricole, les femmes ont reçu des semences améliorées pour accroître leur production. Nous les sensibilisons également sur l’adoption des mesures barrière à travers la fabrication des masques en tissu, du savon en liquide, compte tenu de la situation sanitaire », a confié Brigitte Olinga.
T.N.
