C’est dans cet esprit que les militantes et militants de cette section ont célébré les 50 ans de l’Etat unitaire, le 20 mai dernier à Montréal.
Sous la conduite du secrétaire, Gaston Nanfah, que la fête de l’unité nationale y a été célébrée. Un moment de communion, de partage et de joie qui a enregistré la participation de nombreux compatriotes établis dans ce pays d’Amérique du Nord. Malgré l’absence du défilé qui constitue un moment important de cet évènement au pays, ils ont tenu à témoigner leur amour pour leur pays le 20 mai dernier, à leur manière.
Un temps d’arrêt a été marqué sur le thème pour encourager et soutenir les forces de défense et de sécurité qui se déploient au quotidien sur l’ensemble du territoire national pour préserver l’intégrité territoriale du Cameroun, la paix, les populations et leurs biens, de même que la cohésion sociale. Des prouesses saluées par ces femmes et hommes qui savent que sans la paix, rien de positif ne peut se réaliser au Cameroun comme partout ailleurs. D’où leur vœu de voir cette paix revenir définitivement dans leur cher et beau pays jadis qualifié de havre de paix.
Même son de cloche du côté de leurs camarades de la sous-section et cellules de Montréal, conduites par Guy Epassy leur président, qui n’ont manqué de faire de éloges à l’endroit de ces mêmes forces de défense et sécurité. Dans cette logique, ils ont invité chaque Camerounais à promouvoir la paix et les actions positives pour un pays toujours fort et debout. Il est également question de « rester sourd aux sirènes de la déstabilisation et des antagonismes de toutes sortes ». Une occasion saisie pour réaffirmer leur attachement aux idéaux de la République et au chef de l’Etat, Paul Biya. Pour eux, il est également question de conserver l’esprit d’unité pour que cette valeur si précieuse et chère aux Camerounais puisse davantage permettre de relever les défis du futur et le vivre-ensemble. Une célébration sobre qui s’est achevée dans l’engagement à rester fidèles aux institutions de la République pour un Cameroun toujours fort et uni.
Marthe MAKOUKAM
