C’est l’expression du reconnaissance de Nguélémendouka au chef de l’État, suite à la nomination lundi dernier de Meyong Abath Roger au poste de DGI.
A Nguelemendouka ce lundi après midi, difficile de contenir les foules qui n’ont pas attendu la fin du journal pour se diriger à la résidence du sous préfet, aller dire « ntountsiès papa Paul Biya » autrement dit “ Merci papa Paul Biya”. Un long fil de Bend-skineurs débordant de joie, des hommes et des femmes qui courent à pied pour rattraper le cortège de motos taxis dont les bruits de claxon perturbent le calme d’un début de semaine. Des téléphones qui crépitent d’appels pour soit s’informer ou pour relayer la nouvelle du jour. Dans les gargotes où le nectar de palme se vend, les vendeurs se laissent à coeur joie distribuer à qui veut se rincer les babines. Il y eu un ministre, le patriarche René Ze Nguele. Puis un gouverneur, Lazare Abate Abate de regretté mémoire, tout un recteur d’université à Ebolowa le Pr Jean Bosco Etoa Etoa, et aujourd’hui tout un directeur général des impôts (Dgi) ! Tout ceci grâce à Paul Biya, président national du Rdpc. Joints au téléphone, le maire Alex Mimbang et le president de la section Rdpc Haut-Nyong nord 3, Léopold Mewouande tous ne tarissent pas de reconnaissance à l’endroit du chef de l’État Paul Biya. Dans son village natal à Boela, situé à une vingtaine de kilomètres du centre ville, les réjouissances sont allées jusqu’à l’aube.
Comme une traînée de poudre, tout l’arrondissement dans l’ensemble des 52 villages était dans la joie. Meyong Abath Roger, dont le tout le monde est unanime sur ses performances vient de bénéficier de la très haute confiance du chef de l’État, Paul Biya. Cet inspecteur principal des impôts, dévoué et rompu à la tâche a su laisser derrière sa riche et solide formation dans la finance, une très belle image d’un haut commis de l’État, à qui la confiance vient d’être exprimée par cet important acte du président de la république. Un témoignage vivant qui n’a d’égale que la reconnaissance et la loyauté envers le chef des institutions de la république depuis 1982. Un mariage de coeur et de raison dont les fruits aujourd’hui tiennent la promesse des fleurs semées depuis de longues et difficiles années derrière l’homme du renouveau.
Martin crépin NSTANA MEKOK