La sous-section multiplie les stratégies pour inscrire davantage de militants sur les listes électorales, avant la clôture qui est imminente.
Parce que qui veut aller loin ménage sa monture, les responsables de la sous-section de Djoungolo se préparent déjà pour les futures échéances électorales. Conscients que les élections se gagnent aux urnes, ils travaillent de manière à présenter un maximum d‘électeurs le moment venu. Toute chose qui passe préalablement par le processus d’inscription sur les listes électorales.
En effet, cette unité politique ne lésine pas sur les moyens à mettre en œuvre, afin que les objectifs soient atteints. Entre le recensement des militants non inscrits à la base et le déploiement des équipes d’Elecam sur le terrain, le travail est sans relâche. « Pour l’enregistrement des personnes non inscrites, chaque président de comité de base procède au recensement dans son unité, nous communique le nombre de personnes à inscrire et nous faisons des regroupements pour enfin faire descendre les agents Elecam sur les sites choisis », a confié le président de sous-section. Simon Mama souligne que lorsque la demande est supérieure à 20 personnes, ils déploient les équipes d’Elecam sur le terrain. Lorsque la demande est moindre, les responsables accompagnent les militantes et militants vers les bureaux d’Elecam. « La semaine dernière, nous avons enregistré 57 personnes à la demande de deux comités de base », a relevé Simon Mama. En attendant la clôture annuelle, le travail se poursuit à Djoungolo.
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