Le bureau de cette section Rdpc multiplie les stratégies pour inscrire le maximum de militants avant la fin de l’opération.
Le bureau de la section Rdpc Mbam et Kim nord à Yoko se prépare activement pour les futures échéances électorales. Depuis le week-end dernier, les responsables des organes de base de cette unité politique sont sur le terrain pour appuyer les équipes d’Elecam dans le cadre de l’opération des inscriptions sur les listes électorales. Surtout que cette opération s’achévre le 31 août prochain, pour le compte de l’année 2023. Pour cette dernière ligne droite, le bureau de la section déploie ses responsables des organes de base sur le terrain pour faciliter la tâche aux équipes d’Elecam. Les 28 et 29 juillet dernier, dans la sous-section Rdpc de Makouri, les chefferies de la localité ont servi de point de rencontre pour l’enrôlement des électeurs. L’opération a connu un succès éclatant avec à la clé plus de 150 nouveaux électeurs enrôlés.
Dès le 4 aout prochain, le bureau de la section Rdpc Mbam et Kim nord démarre une nouvelle étape, cette fois avec les militants de la sous-section Rdpc de Ndjolé. Cette étape qui se déroule dans une localité densément peuplée, est composée des allogènes et autres déplacés, va s’étendre sur 7 jours avec pour point de rencontre les chefferies de la localité. L’étape du 4 août aura trois escales respectivement à Méloké centre, plateau et savane. Le 5 août, l’opération va se poursuivre à Koum 1 et 2. Le 6 août, ce sera l’étape de Mbawaga 1et 2. La caravane va s’entendre du 11 au 14 août dans les localités de Ndeké, Eloi, Okoané 1 et 2, Ndjolé centre, sud, Ndjolé mission, Bororo, Vatican et Ndjolé Kpol kpo’o. Pour Charles Calvin Abena Assoké, président de la section Rdpc Mbam et Kim nord, « cette opération va nous permettre d’inscrire un grand nombre de militants du Rdpc sur les listes électorales, en vue de préparer les futures échéances électorales ».
De Ndjolé à Issandja en passant par Ngouetou, Mangai, Linté, Makouri, Doumé et Yoko urbain, les responsables organes de base sont face au défi de la mobilisation pour l’enrôlement d’un maximum possible des militants sur les listes électorales.
Thérèse NGAH