e bureau de la section est actuellement en tournée dans les sous-sections de son ressort pour encourager les militants et sympathisant du Rdpc à s’inscrire sur les listes électorales, en vue des futures échéances.
u début du mois de juin 2024, le bureau de la section Rdpc du Canada a tenu des rencontres restreintes pour préparer les futures échéances électorales. Lors de ces rencontres, il a été décidé de mettre sur pied des équipes pour sensibiliser les militants du Rdpc et les compatriotes du Canada à s’inscrire sur les listes électorales. Ces équipes regroupées au sein des soussections, ont pour mission d’échanger avec leurs camarades du parti sur l’animation du Rdpc dans leurs organes de base respectifs et les encourager à s’inscrire sur les listes électorales, pour garantir la victoire du Rdpc le moment venu. Dans la sous-section d’Ottawa par exemple, Nathanaël Eyoum et son équipe ont saisi l’occasion pour rappeler aux militants et sympathisants du Rdpc l’importance des échéances électorales à venir et leur demander de se préparer minutieusement. Des échanges chaleureux entre camarades du parti qui ont suscité l’adhésion de nouveaux militants dans les rangs du Rdpc. C’était également l’occasion de rappeler aux uns et aux autres de se faire établir la carte consulaire, pièce essentielle pour s’inscrire sur les listes électorales. De l’avis du président de la sous-section d’Ottawa, « nous sommes allés à la rencontre des groupes de camerounais identifiés dans diverses associations pour les convaincre à s’inscrire sur les listes électorales », a-t-il souligné. Comme à Ottawa, les équipes se sont également déployées dans les villes de Montréal, Toronto, Richmond et Brampton. Malgré les difficultés rencontrées, il est question de mener l’opération de charme pour ne laisser passer aucun potentiel électeur du Rdpc. « La plus grande difficulté c’est l’étendue du Canada. Les villes sont assez éloignées, sans oublier les occupations diverses des compatriotes qui pour certains, travaillent à des heures indues. La mobilisation devient pénible, mais nous y attelons stratégiquement », a-t-il conclu.
Thérèse NGAH