Un important don en matériel agricole a été offert aux valeureuses femmes de ce village de l’arrondissement de Njimom le 10 février dernier.
Porte-tout, brouettes, urée, atomiseurs, arrosoirs, râteaux, pioches, sachets plastiques pour pépinière et masques de protection. Voilà entre autres ce qui a constitué l’élan de cœur du ministre délégué auprès du ministre des Transports, Nji Njoya Zakariaou, d’une à hauteur de 1.000.000 Fcfa à l’endroit des Femmes dynamiques de Foyett.
En parfaite harmonie avec le message du chef de l’État à l’occasion de la fête de la jeunesse, cette élite du département du Noun ne se fait pas prier pour apporter son soutien à cette mamelle nourricière dans le domaine de l’agriculture. Il a saisi l’occasion de la semaine de la onzaine pour effectuer une visite dans les champs et plantations de Femmes dynamiques de Foyett constituées en Groupement d’initiative (Gic), afin de toucher du doigt ce qui est fait. Impressionné par leur dévouement et engagement à nourrir la population par leur travail, il a salué l’initiative et les a encouragées dans cette lancée en leur offrant de quoi poursuivre sereinement leurs activités pour renforcer leur production et améliorer leur rendement. Il s’agit alors d’évoluer selon la vision du président de la République. D’où l’accompagnement des populations dans ce domaine par cette élite politique Rdpc. « Je vous exhorte, une fois de plus, à saisir les opportunités qu’offrent les domaines tels que l’agriculture ou l’élevage », soulignait le chef de l’État, Paul Biya lors de son discours à l’endroit de la jeunesse, le 10 février dernier.
Accompagné par Nji Mama Nsounchiat Fit, président de la section Rdpc Noun Nord-ouest, les responsables des sous-sections, le donateur a dit sa détermination à rester au contact de la population en vue d’une grande remobilisation autour des inscriptions pour assurer la victoire du Rdpc. Les bénéficiaires ne sont pas restées indifférentes face à ce geste générosité. Elles ont exprimé leur gratitude en promettant de ne point baisser les bras.
Marthe Makoukam
