Charlotte Nlomngan épse Malende, présidente de la 4ème sous-section A Ofrdpc du Mfoundi 2 s’est entretenue avec ses camarades sur la maitrise du processus électoral le 28 février dernier.
Après les descentes de proximité effectuées dans les sept comités de base de cette sous-section, place à l’éveil. La causerie éducative modérée par la présidente Nlomngan axée sur le « Rôle des militantes et personnes ressources dans le cadre des enrôlements sur les listes électorales pour des résultats satisfaisants lors de la présidentielle en 2025 », emmène à tabler sur la position que chacun devrait adopter pour améliorer les élections. C’est ainsi que pour Marie Labattue Mbah Onana, conférencière et membre du bureau national de l’Ofrdpc, les femmes doivent savoir comment pratiquer le militantisme à la base, s’assurer que l’électeur maitrise les différents circuits de la phase pré-électorale à la post-électorale. Aussi de sensibiliser les militantes et les sympathisantes sur l’importance du vote, avoir un représentant de qualité du Rdpc dans le bureau de vote, de faire la propagande du parti en prenant pour mobile les actions réalisées par les responsables politiques de la base au sommet, programmer des campagnes de placement de carte, afin de mettre en valeur les fondements du parti du flambeau ardent. Voilà entre autres quelques orientations données par l’oratrice. Hormis ces aspects, Marie Mba Onana n’a pas manqué d’appeler les militantes de la 4ème sous-section A Ofrpdc du Mfoundi 2 à susciter de nouvelles inscriptions et à organiser des débats entre les élus locaux et les femmes sur les différentes thématiques qui meublent la vie politique du Rdpc pour une éducation citoyenne électorale effective. Satisfaites du travail abattu sur le terrain et des conseils de Marie Mba Onana, les amazones de l’Ofrdpc d’Azegue se sont rassemblées autour de leur « maman » le 1er mars dernier, pour célébrer la 40ème édition de la Journée internationale des droits de la femme, avec une formation sur la transformation de la banane plantain en farine. Pour Charlotte Nlomngan, cet atelier est un moyen d’accompagner le gouvernement dans la politique de l’import-substitution et de créer des micros entreprises qui vont bénéficier de la certification du laboratoire Lanacome.
Olivia Camille Ayissi
