Entre la tenue des réunions du bureau et autres rencontres, l’exécutif de la sous-section a mis sur pied une newsletter mensuelle qui permet de rendre compte des activités du parti de cette unité politique.
Le Rdpc vit, même au-delà des frontières nationales. Dans la section Rdpc du Canada, les militants et responsables des bureaux des organes de base mobilisent leurs énergies pour que le Rdpc brille toujours de mille feux. Dans la sous-section Rdpc du Montréal, le « Rdpc se porte bien dans ses cinq comités de base ». Ces propos de Guy Epassy, président de ladite sous-section, présentent à suffisance l’état de santé du Rdpc dans cette unité politique depuis la récente opération de renouvellement des bureaux des organes de base du parti. « Nous travaillons depuis notre élection à la consolidation de l’unité de tous les Camerounais dans notre sous-section », a confié le président de ladite sous-section.
Outre la tenue des rencontres du bureau qui se font « de manière virtuelle, compte tenu de la distance géographique qui nous sépare les uns des autres, c’est l’occasion pour nous de solliciter auprès du secrétariat général du Comité central de créer de nouvelles sections au Canada, pour couvrir tout le territoire ». « Tout comme il serait judicieux de créer de nouveaux comités de base au sein de notre sous-section (Montreal), afin rapprocher davantage les responsables de la base », poursuit-il. Pour la préservation de la paix et le vivre ensemble, « nous encourageons les militants et autres compatriotes à intégrer les organisations qui ont pour mission la recherche et la consolidation de l’Unité africaine. Je suis par exemple fondateur de la fédération africaine du Canada dans laquelle siègent de nombreux camerounais ». Il est également mis sur pied une newsletter mensuelle qui permet d’animer la sous-section et informer les militants sur le fonctionnement du parti. L’éducation n’est pas en reste. Le bureau de la sous-section de Montréal a placé son mandat sous le signe de l’éducation citoyenne des camerounais et la promotion des intérêts socio-économiques.
A quelques semaines de la clôture des opérations des inscriptions sur les listes électorales, le bureau de la sous-section s’active en incitant les camerounais de la diaspora à s’inscrire sur les listes électorales, tout en sollicitant la disponibilité des points focaux d’Elécam du Canada « afin qu’ils puissent procéder aux campagnes mobiles des inscriptions. Cette opération a été retardée suite aux restrictions de déplacement et de rassemblement liées à la pandémie de Covid-19 », a-t-il conclu.
Thérèse NGAH