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Le Parti

MFOUNDI II : On s’approprie les textes de base

Sous la houlette de Fadimatou Gali, les militantes de la 3ème sous-section Ofrdpc ‘’C’’ se sont réunies le 6 novembre dernier pour célébrer autrement l’anniversaire du Renouveau.

Célébrer au lendemain de l’opération de renouvellement des bureaux des organes de base du parti, elles ont voulu marquer autrement ce moment historique. « Etant donné que nous sommes encore dans la mouvance du renouvellement nous nous sommes penchées dans un premier temps sur les textes de base qui constituent pour nous un guide pour la bonne gestion du parti », souligne Fadimatou Gali, présidente de la 3ème sous-section Ofrdpc Mfoundi 2. Selon elle, le travail a déjà commencé et il faut évoluer en respectant les textes du Parti. C’est pourquoi, il était important de marquer un temps d’arrêt et inciter les militantes à s’intéresser davantage au « livre jaune ». Lequel livre sans lequel, la connaissance du fonctionnement de base du parti ne serait possible. Pour elle, il est question de regarder dans la même direction grâce aux textes de base. « Les textes de base doivent être une référence. Ce qui nous permet de vérifier si nous évoluons dans le respect de ce qui est écrit », a expliqué Fadimatou. Pour continuer dans le même sens, elles ont poursuivi leur soirée en orientant les débats sur l’historique de la journée du 6 novembre 1982. Et ce, jusqu’au changement que l’on vit aujourd’hui. « Car, il faut évoluer avec les références ».
A cet effet, une projection a été faite depuis son accession à la magistrature suprême en passant par ses multiples réalisations. « C’était l’occasion de soutenir encore notre président pour tout ce qu’il fait pour les camerounais », a-t-elle indiqué. Elle soutient davantage qu’il faut préparer les futures échéances. Et c’est tous les jours qu’il faut sensibiliser, convaincre les autres à se ranger du meilleur côté ; celui du président Paul Biya.
C’est dans une ambiance de réjouissances accompagnée des chants exaltants le président de la République qu’elles ont mis un terme à leur rencontre.

Marthe MAKOUKAM

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