Le lancement des travaux a eu lieu le 12 mars 2025, sous la houlette du maire de la commune de Yaoundé 5, Augustin Bala.
C’est dans une ambiance bon enfant que les populations du quartier Essos-sud ont accueilli le démarrage des travaux de reprofilage des routes en terre au lieu-dit, entrée Dominique Savio.
Un moment de rencontre qui a permis au porte-parole des populations, Jean Claude Amougou, conseiller municipal à la mairie de Yaoundé 5, d’adresser le mot de bienvenue, et surtout d’exprimer leur gratitude pour ce travail qui va changer la physionomie de leur quartier. « Quand nous voyons cet engin, nous sommes convaincus que tout ira vite. Car depuis son acquisition, nous voyons les merveilles qu’il fait dans d’autres zones de l’arrondissement. Merci monsieur le maire d’avoir pensé à Essos-sud ». Le maire de la commune d’arrondissement de Yaoundé 5, par ailleurs président de la section Rdpc Mfoundi 5 a dit sa détermination à faire de ce quartier un endroit où il fait bon vivre. Il rassure que toutes ses routes seront reprofilées pour poursuivre le développement et faciliter la mobilité des biens et des personnes. Pour lui, c’est également le lieu de revoir la situation de l’éclairage public qui viendra à coup sûr lutter contre l’insécurité. Augustin Bala ne va pas se séparer des siens sans les exhorter à s’inscrire massivement sur les listes électorales. Il s’agit pour lui de le faire pour assurer une victoire sans faille au Rdpc, afin que le développement poursuive son chemin dans l’arrondissement. Il a également invité les populations d’Essos-sud à se mobiliser pour célébrer le prochain anniversaire du parti qui aura lieu le 24 mars 2025. Le président de la sous-section Rdpc, Grégoire Mbida Ndzana s’est dit très heureux de voir la concrétisation du développement. C’est la preuve que le Rdpc, c’est le meilleur choix.
En présence de l’élite politique, notables et militants des trois organes de base d’Essos-sud, les prières ont été élevées afin que les travaux se déroulent sans incident, pour le grand bonheur des populations.
Marthe Makoukam