Le Délégué aux organes inferieurs de la section Rdpc Mfoundi I, le militant de la première heure, est resté dévoué à la cause du parti qu’il sert depuis 40 ans.
Au moment où le Rdpc fête ses 40 ans d’existence, la section Rdpc Mfoundi I décide de primer ses militants pour bons et loyaux services rendus au parti. Parmi les heureux bénéficiaires, figure un ancien qui a consacré sa vie à servir le Rdpc depuis sa création. Jean Espérât Mama Mboa puisqu’il s’agit de lui, est un militant de la première heure. Il a vécu de bout en bout, les changements qui se sont opérés au sein du parti de sa création jusqu’à nos jours.
Ce natif du département du Mfoundi, alors fonctionnaire à l’époque, a rejoint les rangs du Rdpc alors que le parti n’avait que quelques mois d’existence. Il définit sa ligne politique sur la discipline et le respect des idéaux. Au fil des années, il gravit des échelons et commence à accéder aux postes de responsabilité. C’est ainsi qu’il occupe le poste de président de cellule à Kribi et deux fois président de comité de base. Il a acquis l’expérience, puis lors du dernier renouvellement des bureaux des organes du Rdpc et ses organisations spécialisées, il a occupé le poste de délégué aux organes inferieurs dans la section Rdpc Mfoundi I.
Jean Espérât Mama Mboa, est un fervent admirateur du chef de l’Etat, pour avoir lu plusieurs fois son ouvrage « Pour le libéralisme communautaire ». Un livre qui lui a inspiré une autre vision de la politique. En tant qu’ancien enseignant d’éducation physique, il a parfois mis ses compétences au service du Comité central du Rdpc où il officiait en qualité de rapporteur dans la commission des manifestations sportives. Il a également occupé le poste de suppléant du député dans le département du Mfoundi. Aujourd’hui, il est conseiller municipal à la commune de Yaoundé 1er et grand conseiller à la mairie de la ville de Yaoundé. Il compte poursuivre son œuvre en encadrant les jeunes, en leur inculquant les valeurs et les principes cardinaux du Rdpc. car dit –il « quand je m’engage, je vais jusqu’au bout ».
Thérèse Ngah
