Un poignée d’individus ambitionnent de supplanter le parti du Président Paul Biya lors de la prochaine présidentielle, sur la base du poids électoral de leurs communautés. Une aberration pure.
Le Rdpc ne chancelle pas devant les déclarations arrogantes de certaines personnalités, qui manifestement sont déjà en 2025, l’année au cours laquelle se tiendra la prochaine élection présidentielle. Cette actualité qui résulte de la sortie médiatique d’un membre du parti, il y a plusieurs jours, est un indicateur de ce que, certains militants, se préparent sournoisement pour la conquête du palais d’Étoudi. L’élément déclencheur de cette boulimie du pouvoir est simple et fièrement brandi : le poids politique de la communauté. Dans la recherche silencieuse et obsessionnelle des sympathisants, le groupuscule d’opposants au sein du Rdpc, et leurs alliés de l’ombre, mettent en évidence des arguments populistes dans l’optique de créer la zizanie ou la division, afin de mieux impulser une dynamique et de prendre le pouvoir. Quelle illusion ! Ces soudains agitateurs du paysage politique sur la base communautariste et du repli identitaire, doivent garder à l’esprit, que dans une structure d’opportunité culturelle (démocratie) savamment mise en place par le Président Paul Biya, l’effet de masse tributaire du communautarisme et du tribalisme, ne produit pas toujours des êtres subjectivement identiques. Bon nombre parmi eux font semblant d’oublier qu’au regard de la force de son nombre et surtout, de la lucidité de son Président national, le Rdpc possède une exceptionnelle capacité de résilience et d’adaptation. Car en effet, depuis sa création, le parti a traversé les épreuves les plus difficiles et a toujours su tirer son épingle du jeu. On n’a encore en mémoire, les années dites de braise démocratique. Ces douloureuses années au cours desquelles, une coalition des partis politiques de l’opposition avait juré la perte du Rdpc et de son Président national, en se donnant manifestement tous les moyens pour atteindre cet objectif, y compris la violence. Durant ces moments de débordements de tout genre, dans un contexte marqué par les balbutiements démocratiques au Cameroun, le Rdpc a tenu bon. Comme un roseau, le parti du Président Paul Biya a plié sans rompre, et s’est aussitôt remis au travail. Aujourd’hui, il est solidement implanté sur l’ensemble du territoire national, et est capable de faire face à toutes les éventualités, au regard de son dynamisme et du caractère républicain de sa ressource humaine. En attentant le déconfinement total de ses activités et la tenue des réunions statutaires dans ses différentes unités politiques, le Rdpc reste serein et bien soudé derrière son Président national, le Grand camarade Paul Biya.
Philippe Nganfeh