Etienne Tayo met en lumière dans la première édition de son magazine sur les retombées de la collaboration entre le Cameroun et ce pays ami.
En septembre 2024 le Chef de l’Etat S.E Paul Biya a pris part au forum sur la coopération sino-africaine à Beijing. Une rencontre qui a permis au Cameroun de renforcer son partenariat avec la Chine avec plusieurs retombées à la pelle. Le magazine « Afrique Intègre » spécialisé dans la coopération Chine-Afrique revient dans ses colonnes sur les grandes lignes du forum de Beijing et les résultats de cette collaboration au niveau de l’Afrique en général et le Cameroun en particulier.
Parlant des grandes lignes du forum de Beijing, le magazine braque ses projecteurs sur le thème de la rencontre à savoir : « travailler ensemble à promouvoir la modernisation et construire un avenir partagé Chine-Afrique ». Il est également souligné dans les colonnes de ce journal la diversité des partenaires de Beijing pour ouvrir le Cameroun à de nouveaux horizons. Mais déjà le magazine égraine un chapelet de retombées fructueuses dont le renforcement des stratégies sur les questions internationales, les échanges d’expérience en matière de promotion de la croissance économique et la valorisation de la coopération Sud-sud. Sans oublier le développement de plusieurs secteurs comme les transports, l’agriculture et du développement rural, l’économie ; les mines et l’industries, avec plusieurs accords de partenariat et l’acquisition de nombreux équipements.
« Afrique Intègre » insiste également sur ses colonnes sur les activités de la première Dame au forum de Bijing. Occasion qui a permis à Chantal Biya de signer la déclaration des première Dames africaines et chinoises pour soutenir l’éducation et l’autonomisation des femmes en Afrique. En dehors de l’éducation, la première Dame du Cameroun a également abordé la thématique sur la lutte contre le Sida.
En page spécial, le magazine d’Etienne Tayo est revenu sur l’inauguration de l’immeuble de l’assemblée nationale, fruit de la coopération entre le Cameroun et la Chine.
Thérèse Ngah
