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Le Cahier des Elections

La Nouvelle dynamique féminine du Rdpc en marche

A la faveur des prochaines consultations électorales, législatives et municipales, les premières, il convient de le souligner, de l’ère de la décentralisation, en tant que cadre formel matérialisé par un département ministériel récemment créé, les populations camerounaises ainsi que les observateurs avisés de la scène politique camerounaise, auront l’heureuse opportunité de constater, et naturellement d’apprécier, à sa juste valeur la nouvelle dynamique féminine du Rdpc en marche, pour la conquête du pouvoir aussi bien dans les exécutifs Communaux des dix Régions du Cameroun qu’à l’Assemblée nationale. Mais que faut-il entendre par nouvelle dynamique féminine? Quelles sont les ingrédients, les atouts, les enjeux, les défis de cette fameuse dynamique féminine du Rdpc. Eh bien ! disons d’emblée que les compétences féminines, c’est-à-dire les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être des femmes du Rdpc, leur sont inculqués et pourrait -on dire innervés, par les textes fondamentaux de leur parti qui constituent, il faut s’en féliciter, leur bréviaire quotidien. Bien mieux, la nouvelle dynamique féminine « redépéciste » se ressource dans la grande vision du Cameroun portée par un grand architecte dont le formidable et lumineux Dessein est de faire du Cameroun un pays émergent, prospère et uni dans sa diversité, à l’horizon 2035. Cet architecte hors pair, exceptionnel, incomparable et exemplaire est bien Paul Biya, le président élu en octobre 2018: un président visionnaire, celui-là même qu’une scribe célèbre dénomma jadis « Bipol, œil de Lynx ». L’homme s’est toujours distingué par ses qualités de dirigeant éclairé, original, cérébral, autonome inventif et créatif. Pour les femmes du Rdpc, Paul Biya, leur Président national se révèle chaque jour comme le pilote inflexible et charismatique qui, contre vents et marées, conduit, le bâteau Cameroun, à travers des récifs et des mers déchaînées qu’il parvient toujours, de manière irréfragable, à dompter ou à contourner. Les candidates investies par le Rdpc voient donc en lui un modèle, le modèle à suivre, une fois élues, pour contribuer à mener à son terme la politique des Grandes Opportunités, pour laquelle il a été plébiscité en octobre 2018. Les atouts majeurs de ces nouvelles amazones de la scène politique camerounaise s’originent également dans le nouveau contexte de la décentralisation qui ouvre à tous les futurs élus de grandes perspectives d’actions et d’engagement responsables au service des populations, au regard des moyens substantiels qui seront transférés aux Communes. La Profession de Foi des candidates et des candidats du Rdpc constitue à cet égard la preuve sine qua non qu’une nouvelle ère a vu le jour au Cameroun et que les attentes légitimes des populations ont de fortes chances d’être comblées par les femmes camerounaises. En effet, dans sa Profession de foi de candidat, Paul Biya avait instruit l’élargissement du champs politique des femmes en déclarant : « mieux que par le passé, nous devons accorder aux femmes une juste place dans la société. Il a pris à cet égard un triple engagement : Celui d’accélérer le processus d’institutionnalisation de la parité hommefemme Celui d’accroître la prise en compte des besoins des femmes dans les politiques publiques sectorielles et enfin ; Celui d’améliorer le niveau de participation des femmes dans la vie politique, économique, sociale et culturelle. De ce point de vue les candidates du Rdpc en appellent à tous pour plébisciter les listes de leur parti par ce que celui-ci renforce substantiellement le rôle et la responsabilité des femmes, des jeunes et des minorités dans la conduite des affaires publiques. Les futures élues du Rdpc sont conscientes qu’elles seront confrontées à de multiples défis : Œuvrer pour le rassemblement des citoyennes et citoyens de tous bords pour construire et restaurer la paix, l’unité et la prospérité aux niveaux national et local. Contribuer à garantir la réalisation des grands programmes et projets politiques, économiques et sociaux, pour l’atteinte optimale, de la politique des Grandes Opportunités et pour la réalisation des objectifs majeurs du Document de stratégie pour l’emploi et la croissance (Dsce). S’engager à donner à la gestion des affaires locales l’impulsion nécessaire en vue d’une dynamique positive, efficiente, et opérationnelle des objectifs majeurs de la décentralisation. Il n’est pas superflu ici de rappeler que l’engagement politique féministe, depuis le dernier Congrès international des recherches féministes (Cirf) qui s’est tenu à Paris, en 2018, n’est plus désormais un nouveau défi pour les femmes de XXIe siècle. De fait, l’intervention politique féministe doit devenir un « continuum entre pratiques et connaissances ». En effet, c’est cette synergie qui article l’engagement politique des femmes qui ont été jadis écartées de la scène politique, soit disant, pour défaut de compétences cognitives ! Aujourd’hui, elles doivent donc mutualiser savoirs, savoir-faire et savoir-être, pour être opérationnelles, efficaces et efficientes sur le terrain de la praxis. Elles intègrent de ce fait un champ d’action sociétal jusque-là l’apanage du théo-logo-phallocentrisme, dans le cadre de l’économie patriarcale. Au demeurant, les femmes camerounaises qui ont déjà excellé dans la mutualisation de leurs compétences dans la gestion des responsabilités, domestiques, familiales, associatives, économiques et culturelles, ne peuvent qu’être des actrices de premier choix, c’est-à-dire des cadres référentiels dans la gestion des collectivités territoriales, décentralisées. Elles sauront créer des cadres institutionnels pour soutenir les multiples projets économiques, infrastructurels, sociaux culturels et politiques, dans une démarche partenariale, consensuelle, efficiente et holistique au service des Communes. Le Rdpc sur la base des engagements pris par le président de la République, Président national du Rdpc visant à « faire du progrès social la priorité des priorités » s’attèle à préparer activement et méthodiquement ses candidates et ses candidats qui devront nécessairement se distinguer par la volonté de se mettre réellement au service des populations car c’est précisément « la vision axée sur la recherche permanente du bien-être des populations » qui justifie toutes les réformes politiques, économiques et sociales engagées par les Pouvoirs publics. Les futures élues et les futurs élus du Rdpc sont donc formés à être « des artisans de la nouvelle vision de la gouvernance locale » qui fait de la commune un vecteur déterminant de la qualité de la vie, sur les plans démocratiques et économiques, en donnant aux populations des responsabilités accrues dans la prise en main de leur destin. Au moment où le Cameroun en particulier et l’Afrique en général recherchent les trajectoires d’une refondation sociale, culturelle, économique et politique de l’Etat Africain post colonial, dans une stratégie qui articule développement, émergence, paix, et harmonie sociable, dans le cadre des agendas 2035 du Cameroun et 2063 de l’Union africaine. Votons massivement pour les listes du Rdpc pour faire le choix d’un Cameroun uni qui avance méthodiquement et se construit sûrement, à travers une approche holistique, partenariale et inclusive. Votons massivement les listes du Rdpc pour dire Oui à un Cameroun où tous ensemble, femmes, jeunes et hommes construisent le vivre ensemble harmonieux et œuvrent pour le développement durable et équilibré de toutes les localités du Cameroun dans la paix et la concorde.

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